Contre la démolition des pensions de l'enseignement / Tegen de afbraak van het onderwijspensioen

Comments

#2

former teacher

Alain Pire (marchin, 2017-12-04)

#4

Et n'oublions pas non plus l'impact des NTIC et sa conséquence de disponibilité ... réception de mails à toute heure de chaque jour, e-learning chronophage du temps "à domicile", nécessité de disposer d'un matériel récent : smartphone, tablette, portable tactile, etc ...

JOSE BINAME (KAIN, 2017-12-04)

#6

Je suis une enseignante bientôt pensionnée et je ne voudrais que mes jeunes (futur(e)s) collègues vivent ce qui s'annonce! Sans compter que je ne sais pas si j'aurai moi-même la pension annoncée jusqu'au bout...

Françoise Chatelain (Charleroi, 2017-12-04)

#11

Pour éviter de dévaloriser encore plus l'enseignement, alors qu'il est une des bases essentielles du fonctionnement correct, non seulement de notre société, mais de toutes les sociétés.

Alain Rouxhet (Ottignies Louvain la Neuve, 2017-12-04)

#22

soutien total de cette pétition, il faut prendre l'argent là où il se trouve.......

Geneviève Wéry (Mons, 2017-12-04)

#24

pour que le métier redevienne attractif pour les jeunes. L'avenir du pays est en cause.
Ancien chargé de cours

de vlaeminck raymond (jette, 2017-12-04)

#35

ik wil dat de jonge leerkrachten aan even goede voorwaarden op pensioen kunnen gaan als hun oudere collega's!

Jorien Oste (Sint-Niklaas, 2017-12-04)

#42

La chasse aux pensions et autres allocataires sociaux est purement idéologique. Cette idéologie obscutrantiste (autrement dit une croyance sansz fondement scientifique) s'appelle (néo)libéralisme qu'elle soit économique, politique ou philosophique.. Le libéralisme n'a jamais défendu la liberté mais bien l'égoïsme et l'égocentrisme , elle a pour effet (but?) de réduire la personne à un individu en atomisant la société, supprimant toute solidarité, fraternité, égalité et en définitive toute liberté. Le libéralisme est un darwinisme des plus primaires qui réduit l'humain à un égoïste toujours en compétition, pour le libéralisme la loi du plus fort (ou du nombre est la seule loi qui vaille). Matérialiste comme le communisme il est d'un autre temps, il est urgent de s'en débarasser d'autant qu'il n'a jamais aussué ni la paix, ni l'égalmité des chance, ni la justice social mais a été le moteur idéologie de l'esclavage, du colonialisme, de l'impérialisme, des guerres du XXe s, des exploitation de l'Afrique et des sa population mais aussi de l'exploitation effraynée des matières premières et autres ressources naturelles et des pollution, sans parler que c'est ce même libéralisme qui à engendré (notamment par la création de l'OTAN) la guerre froide, la course à l'armement et la prolifération des armes de destruction massive (l'URSS n'a jamais été qu'en suiveur obligé).
Au delà la opseudo-science économique n'est qu'un outil de domination auquel le politique c'est totalement soumis en renonçant à faire de la politique au nom du "on n,'a pas le choix" (un comble puisque faire la politique c'est faire des choix et ne pas faire de choix est déjà un choix). L'économie obscurantiste (et ses gurus économistes) à mis l'économie comme étant le préalable à la vie sociale et ppolitique allors que l'économie n'est que le résultat de la vie politique et sociale. Il n'existe pas une économie et encore moins une bonne économie. L’économie a des infinités de formes possibles. Ils faut sortir des mythes de la religion la plus abjecte et en rien humaniste du libéralisme, libéralisme qui n'est lui-même qu'une fumisterie anti-humaniste.

MONTULET Olivier (LIEGE, 2017-12-04)

#45

Un enseignement de qualité par des Enseignants motivés et respectés est le gage d'une société qui veut progresser

Pierre COUPEZ (Liège, 2017-12-04)

#60

J'ai été enseignant et je sais ce que c'est !

Raymond Widawski (Bruxelles, 2017-12-04)

#68

Je signe parce que, effectivement, le boulot d'enseignant devient de plus en plus difficile. Les élèves sont demandeurs d'autres choses que ce que nous avons à leur offrir; je travaille tous les jours jusque 22h30 pour remanier mes cours et les rendre plus attractifs.

Geneviève Pouilliart (Havelange, 2017-12-04)

#80

C'est une politique aveugle, aggressive et injuste!

Jean Lingrand (Uccle, 2017-12-04)

#94

Je suis enseignant belge pensionné, je sais de quoi je parle. C'est l'avenir du pays qui est en danger quand on attaque les enseignants.

Michel De Bremaecker (Brest, 2017-12-04)

#100

Ayant accumulé de sérieux problèmes de santé en fin de carrière, je sais que pour mes collègues encore au travail, travailler plus longtemps sera très difficile. Les élèves sont difficiles à motiver quand la fatigue et les problèmes liés à l'âge sont là.

Portois Anne-Marie (ATH, 2017-12-04)

#101

Ik kon nog op pensioen op 60 "op leeftijd", maar ben blijven werken tot ik bijna 64 jaar was. Ik kreeg nog een pensioenbonus voor de gewerkte periode vanaf 61 jaar; nu is deze bonus afgeschaft. Mijn pensioen is nog berekend op basis van het gemiddelde loon van de laatste vijf jaren, ik kon nog 4 diplomajaren laten meetellen en de pensioennoemer is nu nog 1/55. Op elk van die drie factoren hebben de (doorgevoerde of geplande) maatregelen van deze regering een neerwaartse impact. De pensioenafbraak treft vooral de jongeren omdat zij niet van overgangsmaatregelen kunnen genieten.

Tino Delabie (Borgerhout , 2017-12-04)

#102

INDECENT !... et profondément contre-productif, car ce n'est qu'une bonne école qui peut construire ou changer une civilisation !

Veerle Vandendael (Brussel, 2017-12-04)

#109

je suis enseignante et j'en viens à craindre de vivre trop longtemps!

Hauzeur Geneviève (Orp-Jauche, 2017-12-04)

#110

J’ ai 47 ans, je travaille dans une classe maternelle depuis que j’en ai 21. J’ai vu partir de nombreuses collègues épuisées à 55 ans et je ne me vois pas à 4 pattes sur mon tapis ou assisse sur une petite chaise jusqu’à pas d’age!!

Cecile Delhalle (Villers aux tours, 2017-12-04)

#125

Tout à fait d'accord avec cet article. Enseigner n'est pas une tâche facile, quoi qu'on en dise dans le grand public. Au fur à mesure que l'enseignant vieilli, il se trouve en porte-à-faux avec les jeunes qui sont devant lui et en plus, a moins d'énergie pour maintenir le pot droit et faire progresser les élèves. Dur-dur en fin de carrière, à partir d'environ 52 ans :/)

Bernadette Chevalier (Mont sur marchienne, 2017-12-04)

#130

Je suis une institutrice de 55ans qui se demande comment elle pourra tenir le coup...

Nancy Stas (Braine l Alleud, 2017-12-04)

#131

Jeune enseignante

Nathalie Moïse (Vaux-sous-chèvremont, 2017-12-04)

#133

dur dur après 55 ans !!! Les élèves sont plus "remuants" qu'auparavant.

Geneviève Kinon (Kain, 2017-12-04)

#134

Je suis jeune enseignante.

Gwendoline Barbay (Anderlecht, 2017-12-04)

#148

Je suis prof depuis 22 ans et je suis déjà fatiguée

Kerteux Peggy (Pecs, 2017-12-04)

#158

Le métier est déjà peu attractif. Si les conditions de la profession durcissent, les jeunes vont encore fuir ce secteur. Hors, l'enseignement et l'éducation sont les bases du futur... de la société !

Horinque Nadine (Béclers, 2017-12-04)

#162

I want to keep going to teach as i always did but no with new rules

Anne-Sophie Mahin (Marche , 2017-12-04)

#165

Les conditions de travail des enseignants sont de plus en plus difficiles, d'où le nombre élevé d'entre eux qui quittent l'enseignement dans les 5 ans... et prennent d'autres emplois.

Lucette Koeune (Soignies, 2017-12-04)

#166

I'm a teatcher

Brotecorne Marie jeanne (Ham sur Sambre, 2017-12-04)

#168

Je suis institut et citoyenne inquiète.

Ludivine Charles (Bouge, 2017-12-04)

#175

OK à 100 %

Myriam Lesage (Mariembourg, 2017-12-04)

#189

Trop, c'est trop! Après 30 ans, je ne reconnais plus mon métier et suis exténuée par toutes les charges supplémentaires

Anne Thomas (Sombreffe, 2017-12-04)

#192

Je me sens abandonnée dans ma mission d'enseignante par l'état Belge, toutes les mesures prises sont un recul par rapport à notre investissement !

De Meyer Valérie (Ath, 2017-12-04)



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